Restauration de l'Institution du Nom de Famille :

Le nom de famille est un formidable outil conçu pour structurer la société.
Redonnons au nom de famille sa fonction originelle !

La famille est définie par le nom de famille :
Qui porte le nom de la famille fait partie de la famille.
Qui ne porte pas le nom de la famille, ne fais pas partie de la famille.

Evidemment, cette considération se fait par foyer de même nom, et par regroupement de foyers de même nom (si désiré), dont la parenté a été prouvé.

Toute déclaration administrative peut et doit se faire en regroupements par le nom de famille (par foyer et regroupement de foyers parents), et ce, sans limite d'âge et de temps : impôts, mutuelle, sécurité sociale, retraite, copropriété, crédits, prestations sociales ...

Les limites de la famille étant exactement déterminées grâce au nom de famille, les membres de la famille peuvent alors élire un représentant de famille, le "sage" ou "sachem".

Ainsi, chaque sachem représentera sa famille au conseil des familles.
On pourra alors attribuer au sachem diverses fonctions citoyennes, tel que le VOTE FAMILIAL par exemple :

Le sachem vote pour sa famille avec autant de bulletins que de membres de même nom de famille.
L'élection du sachem, et le vote familial pourra se faire par foyer de même nom.
Plusieurs foyers de mêmes noms (foyers parents)  peuvent mettre en commun leur votes afin d'élire un sachem commun, qui bénéficiera donc d'un vote familial plus fort.

Lois (principes / concept) :

1 - le nom de famille confère les DROITS familiaux :
La propriété est collective à la famille. Qui porte le nom de la famille est co-propriétaire de la famille. On pourra restreindre ce principe au foyer de même nom, et l'étendre pour plusieurs foyers parents de mêmes noms qui veulent fusionner leur propriété (application : déclaration d'impôts...).

2 - le nom de famille confère les DEVOIRS familiaux :
Qui porte le nom de la famille doit protection, aide et assistance inconditionnelles à tous les membres qui portent le même nom de famille. Idem : restriction possible au foyer, extension possible par la fusion de plusieurs foyers (application : prise en charge des enfants, retraites ...).

3 - le nom de famille confère les INTERDITS familiaux :
Toutes les membres de même nom de famille sont considérés comme de même sang. Toutes relations amoureuse/sexuelle entre consanguins sont strictement interdites. Exception : les couples mariés. Evidemment, un couple de noms parentaux identiques, mais dont la non-parenté a été prouvé peuvent s'unir !

Concéquences :

Le nom de famille confère l'HERITAGE :
L'enfant hérite de ses parents de même nom de famille uniquement.
Tout individu ne peut hériter (sans taxes) que de membres de même nom de famille uniquement.

Précision : la notion "oncles et tantes" inclut tous les membres actifs de même génération et de même nom d'un ou plusieurs foyers parents. Sont donc aussi inclus les cousins et cousines de même nom.

Le nom de famille confère la MATERNITE :
Quand l'enfant naît, il porte à défault le nom de sa mère, il appartient donc exclusivement à la famille de sa mère, qui en a le devoir obligatoire de garde et de charge exclusive : l'enfant est élevé par la mère, et les oncles et tantes de même nom. Le père n'a aucun droit sur l'enfant.
L'enfant hérite de sa mère, et de ses oncles et tantes maternels de même nom uniquement.

Le nom de famille confère la PATERNITE :
La reconnaissance de paternité doit obligatoirement être consentie mutuellement par le père et la mère.
Si l'enfant est reconnu par le père, il porte OBLIGATOIREMENT le nom de son père, et appartient exclusivement à la famille de son père, qui en a le devoir obligatoire de garde et de charge exclusive : l'enfant est élevé par le père, et les oncles et tantes de même nom. La mère n'a plus aucun droit sur l'enfant.
L'enfant hérite de son père, et de ses oncles et tantes paternels de même nom uniquement.

Le nom de famille confère le MARIAGE :
Si la mère ET le père désirent avoir ENSEMBLE la garde et la charge de l'enfant, les 3 (enfant + mère + père) doivent OBLIGATOIREMENT avoir le MÊME nom de famille !!! (de même, l'enfant est aussi élevé par les oncles et tantes de même nom).
Père et mère doivent se marier.
Le mariage doit être indissociable de la paternité.
Pas de mariage = Pas de paternité !
L'enfant hérite de son père et de sa mère de même nom uniquement.

Si l'épouse acquiert le nom de famille de l'époux :
Elle appartient désormais exclusivement à la famille de son époux.
Elle ne fait plus partie de sa famille parentale, mais désormais de sa belle-famille.
Elle n'est plus soumise aux droits, devoirs et interdits de sa famille parentale, mais desormais aux lois de sa belle-famille.
Elle n'hérite plus de ses parents,
mais elle hérite désormais de ses beaux-parents UNIQUEMENT,
puisqu'elle est leur belle-fille.

Et vice-versa si c'est l'époux qui acquiert le nom de famille de son épouse.

CAPITALISATION D'HERITAGES :
avec le régime conjugal actuel, l'épouse bénéficie d'un double héritage :
l'héritage de ses parents ET l'héritage de son époux (donc de ses beaux-parents).
C'est vouloir "le beurre, et l'argent du beurre".
C'est la porte ouverte au mariage d'intérêt, arrangé ou forcé, et à la spéculation conjugale, et surtout, aux conflits!
On peut appeler ça du capitalisme sexuel, ou de la prostitution.

APPLICATION : Il faut donc taxer lourdement l'héritage extra-familial (entre noms différents). L'héritage intra-familial (de même nom) ne doit pas être taxé.

Avec la restauration de l'institution du nom de famille, l'épouse doit choisir sa famille : OU celle de ses parents, OU celle de ses beaux-parents (époux), mais JAMAIS les 2 !!!
Le nom de famille double est donc STRICTEMENT INTERDIT !!!
Nom de famille et Nationalité sont donc exactement de même nature.
On ne peut avoir qu'une seule fidèlité.

DIVORCE :
le divorce n'est effectif que si les ex-époux ont désormais des noms de famille différents :
ils recouvrent leur noms de famille parentaux, et les lois liées à leurs familles propres.
L'enfant doit avoir soit le nom de sa mère (et donc appartient exclusivement à la famille de sa mère) soit le nom de son père (et vice-versa).
C'est au tribunal de trancher (avec une préférence pour le parti de la mère).
Si l'enfant porte désormais le nom de sa mère, il est à la charge et à la garde exclusive de la famille de la mère.
Le père n'a aucun droit, et ne doit payer aucune pension alimentaire !
Si le père désire rendre visite à son enfant (un week-end sur 2 par exemple),
il doit obligatoirement payer une pension alimentaire.
L'enfant n'hérite plus du père mais exclusivement de sa mère, et de ses oncles et tantes maternels de même nom.
L'enfant peut plus ou moins hériter de son père (taxe allegée) si ce dernier a versé une pension alimentaire à la mère.
Et vice-versa si l'enfant porte désormais le nom de son père.

Par déduction, l'enfant, tout comme la mère, ne peut hériter soit uniquement de sa famille maternelle, soit uniquement de sa famille paternelle.
L'enfant hérite de ses 2 parents mariés, MAIS la mère n'hérite plus que de la famille de son mari.
Il ne peut et ne doit pas y avoir de capitalisation d'héritages ni par la mère, ni par les enfants.

RETRAITE : les membres de même nom de famille capitalisent à une caisse commune de retraite. Idem : par foyer, puis par fusion de foyers.

ADOPTION & IMMIGRATION : la procédure est la même que pour le mariage.
Le candidat, sans limite d'âge, doit être adopté à l'unanimité par un foyer de même nom.
Il acquiert le nom de famille et tous les droits, devoirs et interdits qui s'y rattachent.
Il quitte donc son ancienne famille et n'est plus soumis à ses lois (droits, devoirs, interdits, héritage).

MARIAGE HOMOSEXUEL : la procédure est la même que pour un mariage hétérosexuel ou une adoption-immigration.

FAMILLE POLYMORPHE (basée sur l'amitié) :
Un nouveau nom de famille est créé.
Ensuite la procédure est exactement la même que pour le mariage et l'adoption-immigration.
Les individus acquièrent ce nouveau nom de famille et sont soumis aux lois qui y sont rattachées (droits, devoirs, interdits, héritage).
Ils quittent donc leurs anciennes familles et ne sont plus soumis à leurs lois (droits, devoirs, interdits, héritage).

CONCLUSION : En restaurant l'institution familiale, la famille est à la fois ET patriarcale ET matriarcale ET polymorphe.
Cela permet d'obtenir des familles clairement structurées, vastes, stables, solidaires, collectives, politiquement puissantes, sans conflits internes, afin d'éviter tous les maux de la société actuelle : avortement, abandon des anciens et des enfants, prostitution, violences ...